ACLU, CAP : le plan de subversion anti-Trump des groupes gauchistes financés par Soros, Rockefeller

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La campagne électorale américaine ne finira donc jamais. La contestation de la légitimité de Donald Trump est devenue la ligne directrice de l’oligarchie libérale-libertaire, celle qui espère prendre sa revanche en avril en France avec son sous-produit étiqueté Emmanuel Macron. Aux Etats-Unis c’est une véritable guérilla contre le président souverainiste et conservateur qui se prépare à coups de millions de dollars et de conditionnement des foules. En pointe, l’ACLU (Amercican Civil Liberties Union), dont le directeur politique est Faiz Shakir, ancien associé au Comité national démocrate, ancien communicant au Center for American Progress (CAP) jadis dirigé par l’ineffable John Podesta, bras armé des Clinton. Le président de l’ACLU est Anthony Romero, qui travailla pour les fondations Rockefeller et Ford, lesquelles financent à fonds perdus, comme Soros, ces organismes-clés de la subversion globaliste, relativiste, immigrationniste et LGBT.
 

L’ACLU mobilise contre Trump pour l’immigration, les « droits religieux » et les LGBT

 
Ce samedi 11 mars était un jour de mobilisation générale pour l’ACLU contre Trump, avec un rassemblement au stade de basket de l’université de Miami. Ordre du jour : rebondir après les nombreuses manifestations anti-Trump organisées depuis la prise de fonctions de ce dernier, en « informant les gens de leur droit à protester » ; contester la nouvelle politique de limitation de l’immigration ; s’appuyer sur la garantie de liberté de parole assurée par le 1er amendement à la constitution américaine ; mettre en avant les droits de liberté de religion, de « reproduction », des communautés gays, lesbiennes et transgenre. Anthony Romero a martelé : « Nous engagerons toutes les poursuites judiciaires nécessaires pour défendre ces droits. Nous agirons devant les tribunaux. Vous, faites le boulot dans les rues ! ».
 
Le Washington Post a relevé que l’ACLU a engagé des millions de dollars dans ses entreprises d’agit-prop pompeusement dénommées « Campagne de pouvoir populaire ». Comme si le pouvoir populaire ne s’était pas manifesté en novembre dernier aux élections présidentielles et législatives ! Le quotidien de l’oligarchie écrit : « La campagne a commencé cette fin de semaine en Floride du Sud et l’ACLU prévoit des milliers de réunions à domicile à travers tout le pays. Tous les militants présents à Miami ont reçus un programme en 9 points pour transformer l’Amérique démocrate en un réseau de « villes libres » visant à défier les décrets du Président, son programme d’assurance maladie et son ministère de la Justice ». Il s’agit de « contester les décisions politiques du Président plus que l’homme et ses discours », note le Post, comme si les attaques ad hominem se révélaient contre-productives.
 

Le très gauchiste CAP est financé par Soros, Bing, Gates, Ford… et l’ambassade des Emirats !

 
L’ACLU travaille main dans la main avec d’autres organisations gauchistes américaines, comme le CAP qui lance une série de « conférences à la base » pour fédérer les activistes en Californie. Le CAP dispose de moyens considérables et leur origine est révélatrice. En 2013, il a été financé à hauteur de 42 millions de dollars par un ensemble de fondations, de syndicats et d’entreprises. Parmi les plus gros pourvoyeurs de fonds, le financier globaliste George Soros, le producteur de cinéma Steve Bing, les banquiers Herb et Marion Sandler, rejoints en 2015 par la Fondation Bill et Melinda Gates (pour 500.000 dollars), le premier distributeur mondial Walmart, la banque Citigroup et… l’ambassade des Emirats Arabes Unis pour 999.999 dollars à elle seule. Si cela ne s’appelle pas de l’ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat étranger, les mots n’ont plus aucun sens. La Fondation Ford quant à elle lui a fourni un million de dollars, ce qui « ne ressemble pas exactement à une contribution de la base », ironise Warren Mass, sur le site thenewamerican.com.
 

Faiz Shakir, étrange défenseur des musulmans et de l’homosexualité tout à la fois

 
Côté ACLU, il est intéressant de noter que Faiz Shakir, d’origine musulmane, fut tout au long de sa carrière d’apparatchik démocrate « un militant des combats clés pour les communautés LGBT et musulmanes », note le Washington Post. Warren Mass ne se prive pas de relever le comique de la cause, « considérant que, sauf de rares exceptions, pratiquement tous les spécialistes de la Charia, la loi islamique, interprètent l’homosexualité comme un délit répréhensible et comme un péché ». A moins que le comique ne se révèle tragiquement cynique : promouvoir l’homosexualité dans la population indigène, pratique évidemment stérile, pour faciliter le grand remplacement. Shakir au demeurant se dit fier d’avoir remporté une victoire en matière d’immigration mahométane, établissant un lien entre les manifestations qui se sont multipliées contre le décret présidentiel qui interdisait provisoirement l’entrée aux Etats-Unis des ressortissants de sept pays à majorité musulmane mais surtout à forte dangerosité terroriste (des dizaines d’autres pays musulmans n’étaient pas concernés), et l’arrêt de justice qui l’a finalement annulé. Il pérore : « Je vois ça comme un commencement. La mobilisation de masse n’a pas seulement le pouvoir de modifier la vision que les juges se font de la loi, mais aussi celle des maires, des gouverneurs, des conseils éducatifs et des policiers ».
 

L’ACLU, racines communistes, objectif subversion et globalisme

 
L’ACLU se bat sur tous les fronts du multiculturalisme et de la déconstruction sociétale, défiant les pouvoirs élus avec l’argent des multinationales. En 2015 par exemple, elle a poursuivi le gouvernement fédéral devant les tribunaux pour qu’il oblige les organisations religieuses à fournir des moyens contraceptifs et abortifs aux immigrés clandestins. Elle a obtenu la même année la condamnation d’un fleuriste qui ne voulait pas vendre des fleurs pour un mariage homosexuel. L’ACLU plonge ses racines dans les sectes socialistes et communistes. En 1931, une commission du Congrès dénonçait le fait qu’elle défendît systématiquement les militants communistes en délicatesse avec la loi, et cela « pour 90% de ses activités ». Aujourd’hui, c’est de communisme globaliste et bancaire qu’il s’agit. La logique reste intacte.
 

Matthieu Lenoir

 
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