FILMS MORALEMENT MAUVAIS : Carol et The Danish Girl

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Une promotion actuellement outrée du mouvement LGBT au cinéma
 
Le cinéma peut servir, et sert largement, à la promotion des changements de société. La tendance des dernières décennies est de promouvoir le pire, en lien avec le mouvement national LGBT (Lesbienne Gay Bisexuel Transsexuel, tout un programme).
 
Il y a dans beaucoup de films, et singulièrement les comédies françaises d’aujourd’hui, toujours une dose de propagande. Ainsi, persiste assez systématiquement le cliché de l’homosexuel, un grand artiste, être sensible et cultivé, personnage toujours extrêmement positif. S’il y a des clichés interdits, comme par exemple une femme mère au foyer et heureuse de l’être, d’autres sont chaudement recommandés, dans le sens de la promotion des mœurs particulières.
 

Une promotion outrée du mouvement LGBT au cinéma

 
Plus grave, certains films, proposés à destination du grand public, et massivement diffusés, font la promotion systématique des mœurs particulières. Ils visent à la rééducation totalitaire des masses, rééducation douce par le loisir, mais rééducation néanmoins, sur des principes absolument opposés à ceux de l’Evangile. Un cinéma spécialisé, en principe confidentiel, existe déjà ; l’enjeu est bien supérieur : toucher le grand public, y compris et surtout celui qui n’est pas déjà acquis au mouvement LGBT.
 
Ainsi, sur deux semaines successives ont été proposées à l’attention du public Carol et The Danish Girl.
 
Carol est l’histoire de deux lesbiennes, d’âges différents, une expérimentée enseignant une plus jeune et novice en ces matières, et ce dans le cadre des Etats-Unis des années 1950, réputés « oppresseurs ». Ce dernier point est d’ailleurs fort discutable, ces dames n’y risquant pas la lapidation comme en Arabie saoudite, au Pakistan ou en Iran aujourd’hui. Le film serait la version élégante de la Vie d’Adèle, scandaleuse palme d’or à Cannes (2013).
 
 

 
The Danish Girl traite d’une fille danoise qui n’est précisément pas une fille, mais un monsieur, artiste marié à une dame, pris du goût de se vêtir en dame, et décidant d’être, autant que possible, une dame, soit un des premiers transsexuels de l’histoire, vers 1930. Rappelons qu’à partir d’un corps masculin sont recréées des apparences artificielles de femme, et en aucune manière une femme véritable, capable d’enfanter.
 
 

 

L’Art actuellement : Carol et The Danish Girl

 
Sur ces sujets tout de même spéciaux, la critique désinformatrice a été absolument dithyrambique : elle crié, pour ces deux films, aux chefs-d’œuvre immanquables. Prétendument par pur amour de l’Art. Cet enthousiasme a été partagé jusqu’au supposé conservateur Figaro, ou plus surprenant, le droitier Valeurs Actuelles. L’impression a été forte de lire des textes soviétiques encensant des spectacles dans la ligne du parti…
 
Nous avons refusé, par principe, de voir ces films malhonnêtes par essence, par leur thème et objet évident, la promotion, sous couvert de compréhension, d’ouverture, etc., avec force guimauve sentimentale, du mouvement LGBT. Les médias désinformateurs participent avec une complicité évidente à cette entreprise de subversion des esprits, que nous dénonçons ici.
 

Hector Jovien

 
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