Rene Hurlemann, psychiatre, prône l’oxytocine, drogue de l’amour, pour faire accepter les migrants aux Européens

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Les professeurs René Hurlemann, Dr Holger Gerhardt,
Nina Marsh et Dr Dirk Scheele

 
La propagande déversée à flots continus par les médias du système sous l’appellation fallacieuse « d’information » ne suffit pas. Pour faire passer la pilule de l’immigration de masse et de la dissolution des cultures et du catholicisme dans la tyrannie techno-marchande, voici les drogues. Des scientifiques, menés par Rene Hurlemann, professeur à Bonn, viennent de suggérer d’utiliser une combinaison de molécules chimiques et de conditionnement social pour obliger les Européens à se soumettre à l’arrivée des migrants, indique une étude réalisée par l’Université de Bonn, l’Université de Lübeck et le Laureate Institute of Brain Research aux Etats-Unis.
 

En état normal, les individus testés donnent déjà plus aux immigrés qu’aux autochtones pauvres

 
Cette étude psychosociologique, publiée par le Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) et dont le Science Daily se fait l’écho, a porté sur 183 individus auxquels on a confié 50 euros qu’ils devaient attribuer soit à des migrants soit à des personnes d’origine locale dans le besoin. Les chercheurs ont été « surpris » (premier signe de leur a priori) de découvrir que ces individus ont attribué en moyenne une somme 20 % supérieure aux immigrés. Mais le plus inquiétant, c’est que ces « chercheurs » ont établi qu’après leur avoir administré de l’oxytocine, une hormone synthétisée dite aussi « drogue de l’amour », les participants déjà bien disposés envers les immigrés leur attribuaient encore plus. Quant aux cobayes qui manifestaient « des attitudes négatives envers les migrants » ils n’étaient pas affectés par l’administration de cette drogue mais, une fois qu’on leur apprenait combien leurs semblables (une fois drogués) avaient été généreux envers les immigrés, il « offraient 74 % de plus », indiquent les « chercheurs ».
 

Rene Hurlemann : « Combiner oxytocine et influence des pairs » pour vaincre « les motivations égoïstes » (des seuls Européens)

 
Conclusion de Rene Hurlemann, professeur à la faculté de psychiatrie de Bonn, « la synergie oxytocine-influence des pairs » permet de diminuer ce qu’il qualifie de « motivation égoïste ». Pas un mot comme il se doit sur les possibles « motivations égoïstes » de migrants qui abandonnent des pays qui ont pourtant besoin d’eux pour de supposés pays de cocagne. « L’oxytocine peut ainsi améliorer l’acceptation et l’intégration des migrants dans les cultures occidentales », s’enthousiasme Hurlemann. Pas un mot donc sur l’effort que lesdits migrants pourraient fournir pour s’adapter aux pays d’accueil. Rien non plus sur la manière de traiter le fait que les communautés musulmanes instaurent des polices religieuses pour appliquer la loi islamique en Allemagne, en particulier auprès des femmes tchétchènes. Ils sont 1,2 million de migrants à avoir submergé l’Allemagne en 2016 après que Angela Merkel eut décrété qu’il n’existait « aucune limite » au nombre de « réfugiés » que son pays était susceptible d’héberger.
 

Il va falloir beaucoup d’oxytocine : 54 % des complots terroristes impliquent des migrants récents

 
Fin 2016, seuls 3 % de ces immigrés avaient trouvé du travail et le ministre fédéral des Finances reconnaissait que ce flux entraînait une dépense publique annuelle de quelque 20 milliards d’euros. L’Allemagne a par ailleurs constaté une envolée du nombre de crimes et d’actes terroristes. L’Heritage Foundation a établi que 54 % des complots terroristes ont impliqué des migrants depuis le début de la crise. Le massacre du marché de Noël de Berlin en décembre 2016 (12 morts) a été perpétré par un demandeur d’asile tunisien, Anis Amri. Pour ce type d’islamistes, l’étude dirigée par Hurlemann ne prévoit pas d’administration d’oxytocine.
 
Malgré son recul sur sa politique de « porte ouverte », Angela Merkel a informé l’agence des migrations de l’ONU, voici quelques jours seulement, que l’Union européenne « peut admettre » au moins 40.000 nouveaux arrivants, alors même que les (vrais) réfugiés syriens commencent à rentrer chez eux. Et cela bien que, selon un sondage publié ces jours-ci par Die Welt établisse que 69,8 % des Allemands considèrent que les migrants traversant la Méditerranée n’ont rien de réfugiés légitimes et qu’il convient de les renvoyer dans leurs pays d’origine. Il va falloir des grandes quantités industrielles d’oxytocine pour neutraliser les réflexes de survie des peuples européens.
 

Matthieu Lenoir