Trump et Orban premiers opposants au Pacte mondial sur les migrations, arme globaliste contre les souverainetés

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Ce sont à ce jour les deux seuls résistants au dogme du tsunami migratoire imposé par les Nations unies et les lobbies de l’économie globalisée. Le président américain Donald Trump et le Premier ministre hongrois Viktor Orban sont les seuls dirigeants à s’opposer au Pacte mondial sur les migrations, dont l’adoption est programmée les 10 et 11 décembre à Marrakech, au Maroc. A l’heure actuelle, 191 nations sont prêtes à signer cette arme globaliste contre les souverainetés et l’identité des peuples, mais la rumeur laisse entendre que d’autres pays pourraient aussi faire défection, comme la Pologne, l’Autriche, l’Italie et l’Australie.
 

Le Pacte mondial sur les migrations, suite logique de la Déclaration de New York

 
Il faut s’attendre à un tir nourri de l’appareil globaliste pour stigmatiser le président Donald Trump et son « inhumanité sans cœur », du fait qu’il refuse de se joindre à la parade onusienne de dictateurs et de kleptocrates qui vont se répandre à Marrakech en discours sentencieux. La pression monte pour intégrer ce Pacte mondial sur les migrations à la « loi internationale », depuis le 19 septembre 2016, date du premier sommet sur les réfugiés et migrants, suivi d’un raout mondial à l’invitation de Barack Obama, le tout sur fond de crise syrienne. Ces deux journées avaient accouché d’une « Déclaration de New York pour les réfugiés et migrants » et avaient lancé la négociation de ce Pacte mondial pour les migrations. Si 193 Etats avaient signé la déclaration de New York (Obama pour les Etats-Unis), seulement 191 rejoignent donc le Pacte, Etats-Unis et Hongrie faisant défection. En attendant peut-être d’autres.
 
En décembre 2017, Donald Trump avait imposé au Département d’Etat de se retirer des négociations, passant outre la position de son ambassadrice auprès des Nations unies, Nikki Haley, qui souhaitait les poursuivre. Les Démocrates, les globalistes et le lobby des professionnels de la compassion intéressée l’avaient alors incendié, d’autant qu’il annonçait aussi son retrait de l’Accord de Paris sur le climat, de l’UNESCO et d’autres programmes onusiens.
 

Trump défend la souveraineté de son pays

 
Aujourd’hui, alors que la « caravane de migrants » latino-américains se rapproche de la frontière méridionale des Etats-Unis, accompagnée d’une kyrielle de militants ouvertement hostiles aux Etats-Unis et brûleurs de drapeaux, exigeant un « droit » particulier de franchir la frontière, de plus en plus de Nord-Américains remercient le président Trump pour sa fermeté à défendre la souveraineté de leur pays. Les Français ne pourront pas en dire autant de leur président Macron, premier avocat du dogme globaliste.
 
Or ce Pacte mondial pour les migrations, qui entend rendre ces dernières « sûres, ordonnées et régulières », est singulièrement inquiétant derrière ces qualificatifs lénifiants. Son premier article « réaffirme la Déclaration de New York pour les réfugiés et migrants ». Or ladite déclaration de New York comporte de nombreuses affirmations problématiques, telles que le « droit » pour les enfants de « migrants » à des prestations complètes d’assistance sociale, d’éducation, de nourriture, d’hébergement, etc… Elle impose aussi que leur soient assurés des soins médicaux, y compris « la santé sexuelle et reproductive ». L’enfance et la jeunesse étant l’avenir d’une population, ces dispositions relèvent à l’évidence d’une stratégie de remplacement, les populations occidentales ayant, avortement de masse et nihilisme sexuel aidant, des taux de fertilité insuffisants. Une stratégie ouvertement prônée par l’oligarchie onusienne.
 

La « loi internationale », arme contre la souveraineté

 
La Déclaration ajoutait de nombreuses références au « droit international » et à « l’obligation » faite aux nations d’appliquer son programme. Est évoquée par exemple la « Convention des droits de l’enfant » pour, non seulement éduquer, nourrir et soigner les jeunes migrants mais aussi « enregistrer toutes les naissances » d’enfants de migrants sur leurs territoires. Ces nombreuses références à la « loi internationale » constituent une arme contre les souverainetés nationales, annihilant les pouvoirs des peuples des pays supposément démocratiques. Cette « loi internationale » est ainsi invoquée pour « assurer le respect de la dignité des migrants et la protection de leurs droits, (…) y compris le principe de non-discrimination ». On la retrouve aussi pour imposer l’obligation d’assurer des politiques complètes de « soutien », d’» assistance » et de « protection » aux « déplacements massifs de réfugiés et de migrants ».
 

Le Pacte mondial appellera à réprimer les opposants aux migrations – Trump et Orban y compris ?

 
Très troublant aussi est le passage de la Déclaration de New York stigmatisant les opposants aux migrations de masse, les qualifiant de racistes, de xénophobes et de haineux, et son appel à utiliser le droit criminel pour bâillonner toute expression de refus de la submersion. La Déclaration de New York, reprise par le Pacte mondial, condamne « énergiquement les manifestations et actes de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et d’intolérance associée visant les réfugiés et les migrants ». Dans le jargon « progressiste » cela signifie que quiconque, pour quelque raison que ce soit, manifeste son opposition aux programmes globalistes de migrations de masse doit être accusé de diffamation raciste, marginalisé puis réprimé par la « loi internationale ». Trump et Orban sont directement visés.
 

Matthieu Lenoir