Le pape François a une nouvelle fois condamné ceux qui ont refusé de se faire vacciner contre le covid en affirmant que l’opposition aux piqûres génomiques l’« affligeait ». « Etre contre l’antidote constitue un acte de déni quasi suicidaire », a-t-il affirmé, en maniant l’hyperbole à la manière de ceux qui pratiquent le chantage émotionnel.
Il s’est exprimé ainsi dans le cadre de ses mémoires publiées il y a quelques jours aux Etats-Unis et en Europe. C’est au cours de ses entretiens avec le journaliste Fabio Marchese Ragona que François est revenu sur la crise du coronavirus. On se souviendra de ce que le Vatican fut parmi les Etats ayant imposé la vaccination de la manière la plus autoritaire, refusant même les résultats de test négatifs attestant de la non infection par le virus, alors même que de nombreux responsables catholiques ont souligné la difficulté morale qu’elle pose, étant donné que la quasi-totalité des vaccins disponibles avait été développé en ayant recours à des lignées de cellules embryonnaires obtenu à l’occasion d’avortements tardifs. Et ce n’était pas le seul problème lié aux vaccins…
« Décider de recevoir le vaccin ou non relève toujours d’un choix éthique, mais je sais que de nombreuses personnes ont rejoint des mouvements opposés à l’administration du médicament. Cela m’a affligé parce que de mon point de vue, être contre l’antidote constituer un acte de déni quasi suicidaire », a-t-il déclaré.
Le pape François jette l’opprobre sur les opposants au vaccin covid
Il n’a pas rappelé que les employés du Vatican n’ont même pas eu droit au libre choix « éthique », vu que plusieurs – y compris trois Gardes suisses – ont perdu leur travail pour cause de refus du vaccin, et que l’obligation vaccinale a été maintenue dans certains cas jusqu’en 2023.
Le pape semble même avoir ajouté une pique à l’encontre du cardinal Burke, en affirmant : « Il y avait même quelques antivax parmi les évêques ; certains d’entre eux ont frôlé la mort. » Une allusion à peine voilée à la maladie du cardinal américain qui a failli mourir du covid…
Mais aurait-il échappé à cette grave maladie s’il avait été vacciné ? Une récente étude de personnes ayant fait une infection covid grave avec hospitalisation a montré que les vaccinés du groupe ont été en proportion plus nombreux à en mourir que les non vaccinés.
Quant à dénoncer un comportement quasi suicidaire, cela relève d’une exagération manifeste. D’une part le covid tuait peu à l’aune du nombre d’infections recensées, voire très peu ou pas du tout parmi les jeunes et les personnes d’âge moyen, et d’autre part, l’écrasante majorité des non-vaccinés va aujourd’hui très bien, alors qu’on continue de découvrir des effets néfastes à long terme de la vaccination.
Le vaccin covid comme outil de sortie des confinements ?
Dans l’esprit du pape, c’est l’arrivée des premiers vaccins qui a permis d’en finir avec le « sinistre scénario » des confinements. Il a oublié de rappeler que les vaccins n’empêchent ni l’infection par le covid-19 ni sa transmission. Et que les confinements et restrictions ont persisté malgré le vaccin.
D’ailleurs, pas plus tard qu’en janvier, une association qui défend les intérêts des immunodéprimés faisait campagne pour le port du masque dans les lieux publics clos avec ce slogan : « Protéger ceux que le vaccin ne protège pas. » Ça ne s’invente pas.
Aujourd’hui le pape se souvient avec émotion d’avoir « immédiatement » programmé sa propre vaccination lorsque les premières doses sont arrivées. « Plus tard, j’ai également reçu les booster, et grâce à Dieu je n’ai pas attrapé le virus », a-t-il raconté à Ragona, en se félicitant d’avoir invité les démunis et les transgenres à venir se faire piquer au Vatican.
François n’évoque même pas les arguments des opposants au vaccin covid
Ainsi le pape François continue-t-il de faire la propagande pour une substance qui modifie le comportement des cellules humaines dans une démarche qu’il faut bien qualifier déjà de transhumaniste, puisqu’au moyen de l’ARN messager, elle fait délibérément et artificiellement produire des protéines propres à un virus par le corps humain. Voilà une question qui, au-delà des interrogations qu’elle devrait susciter chez les scientfiques, devrait agiter les théologiens, mais qui est balayée avec la même désinvolture que celle du recours à des cellules obtenues au moyen de l’avortement.
Rappelons que la vaccination a été très largement imposée dans de nombreux pays, pour éviter une mortalité qui n’était de toute façon pas au rendez-vous, et que les effets secondaires s’en sont révélés nombreux et souvent graves : c’était l’une des raisons principales invoquées par la plupart des « opposants » aux tout nouveaux vaccins ARNm que de nombreuses études sont venues justifier.
Mais le matraquage de l’opinion se poursuit. François se pose en compagnon de route de la mise en place des tyrannies sanitaires et autres manipulations au service du Nouvel Ordre Mondial.
Une étude publiée par le chercheur Denis Rancourt avec une équipe médicale évalue à 17 millions le nombre de morts associés au vaccin anti-covid, dont le déploiement est allé de pair dans de nombreux pays avec une augmentation inattendue de la mortalité « toutes cause » au moment des campagnes de vaccination.