Pire que l’Holocauste, le Grand bond en avant, ou la Seconde Guerre mondiale : le changement climatique tuera 150 millions d’hommes

Holocauste changement climatique
 
Et nous n’y pouvons rien. Voilà ce qu’annonce le prophète de malheur David Wallace-Wells dans le dernier numéro du magazine New York, annonçant que le nombre de victimes du changement climatique représentera « 25 fois celui de l’Holocauste », au moins.
 
Mais James Delingpole de Breitbart fait observer qu’en un an, « le pornographe du désastre climatique » a tout de même fortement révisé ses prédictions à la baisse puisque l’an dernier, sous le titre « La terre inhabitable », il signait un essai annonçant la possibilité de l’élimination de 97 % de la population de la planète. Avec le Bangladesh et Miami sous les eaux, le monde tout entier afficherait des températures plus habituelles dans les zones désertiques du Moyen-Orient, tandis que le taux de mortalité serait aggravé par des maladies « terrifiantes » sorties des glaces arctiques ; il n’y aurait plus de hamburgers.
 

L’Holocauste, une broutille à côté des victimes du « changement climatique » ?

 
S’il brandit aujourd’hui le chiffre catastrophique de 150 millions de morts, on reste quand même très largement en deçà des 7 milliards de décès qu’il promettait naguère.
 
Delingpole s’amuse en montrant que ces annonces reposent sur des projections supposément scientifiques qui se bornent à affirmer quand maintenant le réchauffement climatique à 1,5°, il sera possible de sauver 150 millions de vies. Comment ? En évitant une pollution supplémentaire qui serait associée aux émissions de CO2 qui en elles-mêmes, ne sont pas toxiques.
 

Victimes du changement climatique : 7 milliards, ou 150 millions ?

 
En attendant, sur les 195 signataires des accords de Paris, seule une poignée de pays vont atteindre – de près ou de loin – leurs engagements en matière d’émission de dioxyde de carbone : le Maroc, la Gambie, Bhoutan, Costa Rica, l’Ethiopie, l’Inde des les Philippines. Tous les autres semblent s’en moquer éperdument même si Wallace-Wells se félicite de ce que la Chine est décidée après le retrait des Etats-Unis de se poser en leader et de prendre la lutte contre le « changement climatique » plus à cœur. Opération politique…
 

Anne Dolhein