Les trans brésiliens exigent le pouvoir

Les trans brésiliens exigent le pouvoir

Le lobby LGBT a réuni une foule impressionnante dans les rues de Sao Paolo pour la gay pride. Derrière le boniment de la fête les trans brésiliens exigent le pouvoir, à l’école, au travail et à l’Eglise. Et veulent criminaliser ceux qui s’opposent à eux. Le totalitarisme prend le masque grimaçant de l’homosexualisme.

Trois choses frappent. La première est la rhétorique terroriste et révolutionnaire de cette personne. Ceux qui s’opposent à elle sont des machistes, des homophobes qu’il s’agit de criminaliser. Il est donc naturel et nécessaire d’accepter totalement la morale LGBT à l’école, au travail, à l’Eglise.

 

La puissance terrible du système

Les transgenres brésiliens exigent le pouvoir, tout le pouvoir.

Deuxièmement, le carnaval homo a des airs de procession inversée : quel esprit invoquent donc ces bacchanales d’invertis ?

Troisièmement, leur rhétorique abracadabrante, qui est le fait d’une poignée d’idéologues révolutionnaires, parvient à mettre des milliers de gens dans la rue, un million selon les organisateurs.

Le pouvoir normatif du système et de ses médias est plus puissant que le sens commun. Alors que le Brésil ploie sous la pauvreté et l’insécurité. Et l’Europe se réjouit de ces images, alors que sa réalité à elle aussi, c’est l’effondrement. Bruxelles vient de réviser à la baisse la croissance prévue par le gouvernement.

Et les crimes, en particulier les attaques contre les personnes, sont, eux, en hausse constante. C’est cela qui intéresse et angoisse notre société, mais le système lui ne s’intéresse qu’à la dynamiter. Sans un moment de répit…