Lien entre vaccination et autisme : des cellules fœtales humaines responsables, selon le Sound Choice Pharmaceutical Institute

Lien entre vaccination et autisme Cellules fœtales humaines Sound Choice Pharmaceutical Institute
 
Une nouvelle étude sur le lien entre vaccination et autisme – toujours nié par les autorités sanitaires – vient donner du poids à une théorie inculpant non pas les métaux utilisés dans les vaccins, comme l’affirment nombre de leurs détracteurs, mais l’utilisation de lignées de cellules fœtales humaines. Theresa Deisher, fondatrice du Sound Choice Pharmaceutical Institute de Seattle, Washington, affirme l’existence d’une forte corrélation entre les cas classiques d’autisme infantile chez les enfants et les vaccins contre la varicelle et l’hépatite A.
Les chercheurs se sont bornés à étudier ce type d’autisme dont le diagnostic est clairement codifié depuis longtemps, pour éviter d’encourir la critique de ceux qui estiment l’augmentation de l’autisme liée au simple élargissement des critères.
 
Le Sound Choice Pharmaceutical Institute établit le rôle des cellules fœtales humaines
 
L’incidence de l’autisme a triplé chez les enfants américains depuis l’an 2000, passant de 1 sur 150 alors à 1 sur 50 en 2013.
L’équipe de chercheurs a travaillé sur des données provenant des Etats-Unis, du Royaume-Uni, du Danemark et de l’Australie de l’Ouest. Dans tous ces pays, l’augmentation importante du diagnostic d’autisme se constate depuis le début des années 1990, au moment même de l’introduction dans plusieurs vaccins d’ADN fœtal humain et de rétrovirus ; une nouvelle augmentation des diagnostics s’est produite lorsque l’utilisation de ces vaccins s’est généralisée.
Le recours au tissu fœtal humain est justifié par les fabricants par le fait qu’il provoque moins de réactions auto-immunes. Selon Katie Doan, qui a mené l’étude, il est impossible de purifier l’ADN fœtal de manière à en éliminer les fils d’ADN brisés, ce qui ouvre la porte à une combinaison de ces fils avec les gènes de l’enfant vacciné et un possible déclenchement de l’autisme par « mutagénèse insertionnelle ».
L’augmentation de l’âge du père lors de la conception est fréquemment mise en avant pour expliquer le triplement de l’incidence de l’autisme. Pourtant les chiffres ne montrent pas de corrélation entre la progression de l’âge moyen des pères et celle de l’autisme, tandis que les statistiques de vaccination montrent une corrélation évidente, assurent les chercheurs.

L’explication communément donnée du lien entre l’augmentation de l’âge du père lors de la conception ne montre pas de concordance entre la progression de l’âge moyen des pères et celle de l’incidence de l’autisme, alors que les statistiques de vaccination montrent une corrélation évidente, assurent les chercheurs.
 

Le système truque les statistiques pour nier le lien entre vaccination et autisme

 
Ceux-ci dénoncent le refus des autorités sanitaires américaines d’étudier le lien entre vaccination et autisme. Ils rappellent qu’un chercheur d’une équipe de CDC, Centers for Disease Control, a même avoué il y a un mois que des données indiquant l’existence d’un tel lien avaient été délibérément éliminées d’une étude réalisée en 2004.
Depuis peu, selon Katie Down, CDC a même cessé de publier les chiffres annuels de vaccination, compromettant les recherches futures.
Elle signale que d’autres études ont montré l’existence d’un lien entre leucémies infantiles et lymphomes et la vaccination : elle souligne que selon les recherches de l’équipe de Seattle, des vaccins largement utilisés contre la varicelle et l’hépatite C comportent des cellules « de la lignée de cellules fœtales WI-38 contaminées par le rétrovirus HERV ».
La lignée WI-38 provient des poumons d’un bébé fille, avorté légalement en Suède en 1962.
Le Sound Choice Pharmaceutical Institute est la branche non lucrative de la société AVM Biotech fondée par le Dr Deisher, spécialisée dans le développement de produits et de méthodes destinés à améliorer l’efficacité des traitements par cellules souches adultes, dont l’utilisation respecte l’enseignement moral de l’Eglise catholique.